Apéro-lecture autour de la rentrée littéraire

Quand : mercredi 17 octobre à 18h30
Où : à la librairie
Les libraires de L’escampette vous présentent les sorties de septembre et octobre qui les ont marqués. Des extraits seront lus par la comédienne Camille Garcia. Ce sera aussi l’occasion de discuter de vos découvertes autour d’un verre !

Merci de réserver.

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Rencontre avec David Diop / Frère d’âme, éd. du Seuil

Quand : mercredi 24 octobre à 18h30
Où : à la librairie L’escampette

 

 

 

 

 

 


R
encontre avec David Diop
 auteur de Frère d’âme (éd. du Seuil), roman magnifique sur l’histoire d’un tirailleur sénégalais qui perd pied après la mort de son meilleur ami. Un texte aux colorations variées, tantôt sombres et brutales, tantôt lumineuses et délicates, rythmé par une très belle écriture. Ce livre, qui fait partie de nos coups de cœur, est sélectionné pour les prix Goncourt, Renaudot, Médicis, Interallié.

Une rencontre à ne pas manquer !

Ce qu’en dit l’éditeur :
« Un matin de la Grande Guerre, le capitaine Armand siffle l’attaque contre l’ennemi allemand. Les soldats s’élancent. Dans leurs rangs, Alfa Ndiaye et Mademba Diop, deux tirailleurs sénégalais parmi tous ceux qui se battent alors sous le drapeau français. Quelques mètres après avoir jailli de la tranchée, Mademba tombe, blessé à mort, sous les yeux d’Alfa, son ami d’enfance, son plus que frère. Alfa se retrouve seul dans la folie du grand massacre, sa raison s’enfuit. Lui, le paysan d’Afrique, va distribuer la mort sur cette terre sans nom. Détaché de tout, y compris de lui-même, il répand sa propre violence, sème l’effroi. Au point d’effrayer ses camarades. Son évacuation à l’Arrière est le prélude à une remémoration de son passé en Afrique, tout un monde à la fois perdu et ressuscité dont la convocation fait figure d’ultime et splendide résistance à la première boucherie de l’ère moderne. »

Né à Paris en 1966, David Diop a grandi au Sénégal. Il est actuellement maître de conférences à l’université de Pau.

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Rencontre avec l’historienne Katia Khemache sur les Harkis

Quand : mercredi 31 octobre à 18h30
Où : à la librairie

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Rencontre avec l’historienne Katia Khemache autour de son livre Harkis, un passé qui ne passe pas, publié aux éditions Cairn. En partenariat avec l’association des Harkis et enfants de Harkis des Pyrénées Atlantiques.

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Rencontre avec Gildas Guyot pour Le goût de la viande (éd. In8)

Quand : mercredi 7 novembre à 18h30
Où : à la librairie

 

 

 

 

 

 

 

L’un des romans les plus puissants de la rentrée !
Venez rencontrer Gildas Guyot, auteur du Goût de la viande, publié aux éditions in8, un roman « coup de poing » qui sortira le 16 octobre.

Résumé :
Hyacinthe Kergoulé, jeune appelé de vingt ans, survit miraculeusement à l’enfer des tranchées. Lorsqu’il regagne la ferme familiale, à l’armistice, c’est avec un bras en moins, mais un truc en plus, dans la tête, ou au fond des tripes. Que lui reste-t-il à vivre ? L’histoire de Hyacinthe Kergoulé est celle d’un homme qui tente de se reconstruire malgré lui, bouchée après bouchée, en redevenant carnivore.
Gildas Guyot est né en 1976. Il a grandi en Lorraine avant de s’établir à Bordeaux. Le goût de la viande est son premier roman.

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Philippe Lescarret en dédicace

Quand : vendredi 23 novembre à partir de 18h30
Où : à la librairie
L’auteur béarnais Philippe Lescarret dédicacera son troisième roman policier L’heure de notre mort qui parait aux éditions Cairn.

Présentation de l’éditeur :

« Été 2009. Alors que le procès du dernier criminel nazi est sur le point de s’ouvrir, plusieurs vieillards sont retrouvés morts dans le sud‐ouest de la France. Des témoins gênants venus d’Espagne ? Avaient‐ils commis des exactions ?

Guidé par une enseignante, spécialiste du Franquisme, le lieutenant Yann Loubeyres s’efforce de faire la lumière sur le passé. Avec ses coéquipiers de la PJ, il infiltre les réseaux les plus secrets, comme celui d’anarchosyndicalistes, se prenant pour les héritiers des Brigades Internationales. Il
met aussi sous surveillance des intégristes catholiques et des francs-maçons, gardiens de la morale.

Au milieu de tous ces donneurs de leçon, il comprend que le voyou n’est pas le seul à rendre des comptes. Le flic doit lui aussi affronter son passé le plus intime. »

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Rencontre avec Denis Hirson / Ma langue au chat, tortures et délices d’un anglophone à Paris (éd. Points)

Quand : mercredi 21 novembre à 18h30
Où : à la librairie

 

Rencontre avec l’écrivain franco-sud-africain Denis Hirson autour de son livre Ma langue au chat, tortures et délices d’un anglophone à Paris (éd. Points). En partenariat avec l’Université de Pau et des Pays de l’Adour.

Ce qu’en dit l’éditeur :
Une soixantaine de textes courts empreints de poésie, véritable déclaration d’amour à la langue française.

« Ma langue au chat est le premier livre de Denis Hirson écrit directement en français. Il observe, constate, s’étonne, et s’étonne de ce qu’on ne s’étonne pas. Les Français ne s’étonnent jamais assez ; s’étonner c’est reconnaître qu’on ne sait pas tout d’avance, c’est en quelque sorte un aveu de faiblesse, et les aveux de faiblesse ne sont pas le fort des Français.

« Vous désirez, monsieur ? ? Oui, madame, je désire. »

« Vous êtes un particulier ? ? Euh… et vous, non ? »

Le ton n’est jamais cinglant ni agressif. Hirson vient à la langue française à sa manière inimitable, délicate et délicieuse, tel un Pan flûtiste sur la pointe des pieds. »

Nancy Huston

Né en 1951, Denis Hirson est anglophone et a grandi en Afrique du Sud. Installé en France depuis 1975, il est aujourd’hui maître de conférences en anglais à l’École Polytechnique et écrivain.

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Soirée sur Apollinaire avec Franck Balandier

Quand : mercredi 28 novembre à 18h30
Où : à la librairie

 

 

 

 

 

 

 

Rencontre avec Franck Balandier auteur d’Apo (éd. du Castor astral), roman sur Apollinaire, mort il y a cent ans, ainsi que du Paris de Guillaume Apollinaire (éd. Alexandrines).

Sur Apo :

« Apollinaire en prison !

Sur une idée saugrenue mais géniale de Picasso et du mystérieux Géry, Apo se retrouve, par une nuit diluvienne, complice du vol de la Joconde. En quelques jours, la police remonte jusqu’à lui : menottes, serrures, barreaux, cellule.  Cinq jours comme une éternité.

Du Paris de la Grande Guerre à la destruction de la prison de la Santé, le roman dévoile un Apollinaire sensuel ramené à sa condition d’homme et à ses failles. Pour s’en échapper, il ne sait qu’écrire : au café, en cellule, sous les bombes…

Avec cette fiction sensuelle, Franck Balandier force le retour à une expérience authentiquement humaine, loin du rapport institutionnalisé à Apollinaire. »

Le Paris d’Apollinaire :

 « Sous le pont Mirabeau coule la Seine / Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne / La joie venait toujours après la peine.
C’est à Paris que Guillaume Apollinaire, éternel vagabond, poète de l’errance, se fixe et trouve son équilibre. « Flâneur des deux rives », il y installe sa bohème. Poète, dramaturge, romancier, pornographe, journaliste, mystificateur, parfois même un peu voyou, il sait capter, mieux que personne, la modernité littéraire et artistique de la capitale.
Il en est le passeur magnifique.
Apollinaire tisse un réseau d’amitiés solides (Picasso, le meilleur ami, le Douanier Rousseau, Max Jacob, Gide, Cendrars…), et entretient des amours tumultueuses et parfois douloureuses. Il est le meilleur découvreur du surréalisme, dont il invente le nom, et devient le chantre et le précurseur d’une formidable épopée littéraire et artistique. C’est à Paris qu’il vit, qu’il travaille, qu’il aime. Et c’est à Paris qu’il meurt, le 9 novembre 1918, deux jours avant l’armistice, il y a tout juste un siècle. »